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Fragment 128
(R.Char)
I – Le récit d’une anecdote
a) Prise du village par les SS
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Hyperbole « rage insensé » > Le poète exprime sa colère envers les SS et leur violence.
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CL de la violence « assiégé, bâillonné, mortier,… » > Ceci montre bien la façon violente des SS de la prise du village.
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Allitération en [r] « leurs mitrailleuses et de leur mortiers » > Exprime la violence cru de la guerre.
b) Un témoignage
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Temps des verbes imparfait + passé simple > temps de narration, raconte ce qu'il a vu, ce qu'il a vécu.
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Point de vue interne > Prouve que le poète est dans l’histoire, il est présent au moment même et raconte ce qu’il a vu.
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Les "SS" sont cités > Nous montre bien que les personnes on réellement existé, témoigne d'une histoire vraie.
II – Les leçons tirés de cette anecdote
a) Hommage à des villageois héroïque
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Hyperbole « marée des femmes » > exprime le nombre élevé de villageois présents.
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Métaphore filé « marée, jaillissant, ruisselant » assimile les civils les plus faibles à une force importante comme le courant d’eau contre les SS.
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Terme « sacrifice » > villageois prêt à aller jusqu’au bout.
b) Hommage à la solidarité
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Italique « plan concerté » > suivre un plan précis en ayant recours à la solidarité. Plan réfléchi ensemble.
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Pluriel qui s’oppose au singulier « j’ai aimé farouchement mes semblables » >montre qu’il les considère comme des frères.
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Hyperbole « mille fils confiants » > Un réseau de solidarité, soudé entre eux, ne formant que 1 seul et même personnage héroïque.
